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Café des Sens ©
Au cœur du "Café du Rond Point", rénové depuis mai 2021, Céline a développé un espace bien-être "Au Café des Sens".
Depuis quelques années, les pierres et leurs vertus ont permis à Céline de retrouver son équilibre, sa joie de vivre et son chemin de vie. Elle souhaite désormais partager ces bienfaits avec ses clients.
Céline propose toute une gamme de produits qui est exposée au sein du café, dont pierres, bijoux, encens, cartes et pendules.
Par cette nouvelle activité, Céline souhaite faire de belles rencontres et partager les expériences de chacun en proposant si besoin des aides naturelles pour aider à surmonter un manque d'énergie... toujours dans la bienveillance.
PRÉSENTATION
2014-2021
Le café du Rond-point, à l'intersection des rues Urien et du Général Hagron, a subi des travaux de rénovation. Depuis le 29 septembre 2014, Céline Guillet, la nouvelle gérante, accueille les clients dans un espace plus grand et lumineux.
De grosses réparations ont été réalisées pendant deux mois, avec la réfection du plafond, de l'électricité, des fenêtres, d'une partie du sol, et avec l'installation de toilettes adaptées.
Si les présentoirs à cigarettes et le bar ont retrouvé leurs places, la papeterie occupe un espace particulier. Les clients apprécieront la clarté, le confort, la gentillesse et le sourire de Céline Guillet.
En plus des produits habituels, sont proposés des boissons à emporter et autres prestations.
Mai 2021
Au cœur du "Café du Rond Point", rénové depuis mai 2021, Céline a développé un espace bien-être "Au Café des Sens".
Depuis quelques années, les pierres et leurs vertus ont permis à Céline de retrouver son équilibre, sa joie de vivre et son chemin de vie. Elle souhaite désormais partager ces bienfaits avec ses clients.
Céline propose toute une gamme de produits qui est exposée au sein du café, dont pierres, bijoux, encens, cartes et pendules.
Par cette nouvelle activité, Céline souhaite faire de belles rencontres et partager les expériences de chacun en proposant si besoin des aides naturelles pour aider à surmonter un manque d'énergie... toujours dans la bienveillance.
ACTIVITÉ
Services
Bar
Tabac
Presse
Loto
FDJ
Papeterie
Carterie
Photocopies
Cadeaux
Téléphonie
Paiement amendes
Compte-NICKEL
Produits
Articles fumeurs
Briquets
Feuille à rouler
Tubes cigarette
Filtres cigarette
Machine à rouler/tuber
Cigares
Recharge gaz
Recharge essence Zippo
Cigarettes électroniques
Recharges Liquide
Chicha
Charbon Chicha
ACTIVITÉ
Services
Bar
Tabac
Presse
Loto
FDJ
Papeterie
Carterie
Photocopies
Cadeaux
Téléphonie
Télépaiement amendes
Paiement de proximité [infos]
Compte-NICKEL [infos]
Produits
E-Cigarettes [voir]
E-Liquides [voir]
Articles fumeurs
Briquets
Feuille à rouler
Tubes cigarette
Filtres cigarette
Machine à rouler/tuber
Cigares
Recharge gaz
Recharge essence Zippo
Chicha
Tabac chicha
Charbon Chicha
PRODUITS DÉMATÉRIALISÉS [voir]
Recharges mobile
Carte/Recharges PCS [infos]
Recharges Transcach [infos]
Recharges Paysafecard [infos]
Timbres postaux
Timbres fiscaux
Timbres amendes
Timbres dématérialisés
(ou électroniques) [infos]
Enveloppes
Stylos
Piles
Confiseries
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération
HISTOIRE
Depuis plus de cinquante ans, elle servait le café au Rond-Point
Christiane Gornouvel était sans doute la doyenne des commerçantes d'Ancenis et tenait l'un des plus anciens établissements.
Ce petit café fut acheté par sa mère pendant la guerre 39-45, Christiane devait avoir 5 ans.
À 14 ans, après sa scolarité, elle entra en apprentissage chez une couturière, suivant la volonté de sa mère. Christiane voulait devenir coiffeuse, mais c'était l'époque où l'autorité parentale n'était pas remise en cause.
Elle a ensuite travaillé dans le magasin de vêtements Luneau-Martin, près de la mairie d'Ancenis, puis dans une usine de lampes à Saint-Pierre-Montlimart (Maine-et-Loire).
Au retour du travail, elle servait les clients au café, pour aider sa mère. Après la mort de celle-ci, elle prit la succession du petit commerce, le fit évoluer au cours des années, avec un agrandissement du local puis, progressivement, avec la vente de journaux, de revues, de tabac, de jeux, de friandises, de bibelots... Ces dernières activités étaient plus rentables que le débit de boissons, qui avait eu ses moments de "gloire" dans les années 50-60 avec les ouvriers de la fonderie Bouhyer et de l'imprimerie Giraudet. Aux pauses, ils venaient rapidement boire leurs chopines de vin qui étaient déjà servies à leur arrivée. Il y avait une joyeuse ambiance qui pouvait se prolonger le soir, après la journée de travail, se souvenait Christiane Gornouvel.
Elle n'oubliait pas non plus les agriculteurs qui amenaient au printemps leurs juments au haras tout proche, rue Urien. Avec les palefreniers, ils venaient au café et engageaient de longues discussions avant de rentrer à la ferme...
Dans la vie moderne, ce n'était plus la même clientèle. Jeunes et moins jeunes, actifs ou retraités fréquentaient l'établissement pour acheter des journaux nationaux et des revues, pour jouer et espérer le gros lot, pour des cigarettes, pour s'asseoir à la table seul ou avec des amis. Christiane appréciait discuter avec les clients qui trouvaient dans ce lieu une chaleur humaine.